Ramïya Disheldi

Nom : Disheldi

Prénom : Ramïya

Age : date du décès inconnu, âge estimé entre 27 et 35 ans

Surnom : oh y en a tellement

Physique:

Ramïya est assez grande. Elle mesure dans les 1 .76m pour 65 kilos. Son corps est ce qu’on pourrait qualifier de parfait pour ainsi dire. Ses formes féminines finement musclées et légèrement satinées sont de redoutables armes pour son métier. Elle a des cheveux châtains lui arrivant à mi-dos qui sont légèrement ondulés. Ses yeux cristallins d’un bleu virant vers le vert ont tendance à devenir métallique quand elle est en colère ou s’apprête à tuer. Elle a aussi deux tatouages, un sur le poignet, la marque des succubes et un autre dans le cou, celui-ci étant un tatouage de protection. Elle porte souvent des habits moulant destinés à la mettre en valeur. Majoritairement ils sont toujours dans des tons discrets ou en harmonie avec elle. En clair, Ramïya est une beauté fatale…très fatale.

Caractère:

Ramïya a un caractère difficile à cerner et surtout à comprendre. Certains de ses actes peuvent en effet paraitre très bizarres, mais Amira ne fait jamais quelque chose d’irréfléchi. De nature patiente et stratégique, elle prend en considération tous les cas de figure. Son intelligence n'a d'égale que son sadisme. baignant dans le milieu de la luxure et le plaisir, elle affectionne le BDSM où elle se révèle dominatrice et incroyablement efficace. Maitresse dans l'art de manier ses sentiments et ceux des autres, il est pratiquement impossible de savoir ce qu'elle ressent, car elle vous fera toujours penser ce que vous voulez qu'elle ressente.
D'une nature joueuse et provoquante, Ramïya est aussi une tueuse hors pair. Ayant une connaissance approfondie de l'anatomie humaine, elle adore s’amuser avant de tuer ses victimes quelles qu'elles soient. Ne craignant pas la mort pour l'être déjà, elle considère cette deuxième vie comme une vengeance sur la première. En effet de son vivant, elle était tout l'opposé de ce qu'on connait aujourd'hui. Une fille tout à fait correcte, qui ne cherchait ni les histoires ni les problèmes. Aujourd'hui elle est une femme de pouvoir dont la beauté n'a d'égale que sa cruauté. Surnommé veuve noire ou mente religieuse en hommage à ces insectes connus pour tuer leur partenaire après l'acte sexuel, il ne vaut mieux pas lui chercher des puces là où il n'y en a pas, car déjà qu'elle supporte mal les critiques, celles sans fondement se solderont par la mort. Un de ses défauts est sans nul doute, sa nature colérique et impulsive, résultant d'être une succube, mais elle peut être douce, aussi douce que le venin d'une vipère et vous transporter au pays de l'avarice sans même vous rendre compte. Solitaire dans l'âme, elle n'entretient aucun contact autre que commerciale avec les gens de sa race et les mortels, pour lesquels elle prouve plus de dédain et dégouts qu'autre chose.

Histoire :

Sa vie

Enfance

Amira naquit, à une époque bien lointaine à présent où la face du monde était moins noire, moins fataliste et sélective, dans un pauvre quartier au sud de Bombai. Ses parents, simple fermiers travaillaient dans les rizicultures et gagnaient l’argent à la sueur de leur front. La jeune enfant eu un début de vie assez tranquille, savourant comme tout enfant des PVD (pays en voie de développement) la simplicité de la vie et les rares cadeaux qu’elle recevait. A sa quatrième année, un frère vint la rejoindre. Curieuse de nature, elle s’occupera beaucoup de lui en l’absence de ses parents et en présence de la grand-mère. La petite a la chance d’aller à l’école à partir de l’âge de 6 ans. A l’âge de 10, un drame s’abat sur sa famille. Alors qu’ils revenaient de la ville, la crue commença, emportant avec elle tout ce qu’il y avait. L’eau montante atteint rapidement le sud de Bombai. Bien qu’ils y fussent préparés, sa famille fut prise par surprise à cause de la force de cette cure qui emporta comme un château de carte des centaines de maisons et immeuble. Toute la famille d’Amira périt ce jour là, sauf elle. Etant à l’école, elle fut épargnée de ce sort funeste. Mais le cœur d’un enfant est trop petit pour comprendre la cruauté du monde. Elle retourna chez elle, ne trouvant que désolation et ruines, elle se était à chercher, s’empêtrant dans la boue fraichement déposée jusqu’à tomber sur des corps enfoui dans la vase du salon…son frère. Elle mit une bonne heure à tous les trouver…avant exténué de se laisser tomber comme un sac de patate et pleurer, couverte de boue. Elle attendit assez longtemps avant d’apercevoir les secours et passera plus d’un mois avant d’être envoyé à un oncle éloigné aux Etats-Unis, New-York plus précisément.

Adolescence

Comme un nouveau chapitre dans sa vie, son adolescence commença par son rapatriement aux Etats-Unis. Encore sous le choc de ce qu’elle avait vécu et encore en deuil, elle laissa passer passivement les retrouvailles avec sa famille au second degré. Les premiers mois furent durs pour la jeune enfant qui ne connaissant que très peu la langue, elle fut souvent exclue non pas dans sa famille, mais à l’école. Souffrant amèrement à cause de cet isolement, Amiral tomba dans un état d’autisme, laissant son esprit vagabonder et son corps agir à son gré, alors que sa tête était prise entre deux fléaux 3 ans plus tard, elle a alors 16 ans, elle reprend peu à peu goût à la vie grâce à son psy et ami David. Il l’aidera à revenir sur le chemin de la vie. La jeune fille prend de l’assurance, commence à sourire et à ne plus avoir honte de ce qu’elle est et surtout d’où elle vient. Durant ces dernières années de lycée, elle devient une élève aimée pour son intelligence et surtout son élégance. A 18 ans comme chaque fille de son âge, elle fête sa majorité…du moins à sa manière. En effet comme pour marquer la fin d’un autre chapitre, elle couche avec David, qui a une dizaine d’années de plus qu’elle. Mais elle l’aime et ne peut s’imaginer vivre sans lui. Mais cet amour cache autre chose. L’oncle d’Amiral ne s’est jamais vraiment occupé d’elle et elle fut toujours considérée comme moins que rien par sa tante. Forcée de faire diverses tâches ménagères, elle était une sorte de cendrillon. La solitude pesant, David était pour ainsi dire une bouée de sauvetage pour la jeune femme et honnêtement elle était trop dépendante de lui.

Vie adulte

Plus fugueuse que déménageuse, Amiral emménagea chez David, son grand amour, du moins elle le croyait. Au début de sa vie de jeune femme adulte, Amiral vivait un conte de fée. L’amour, les études, l’argent, David semblait être l’amant idéal, doux et toujours attentif. Mais la pauvre malheureuse eu bien vite le vrai visage de David sous les yeux. Elle vit avec horreur qu’il avait usé d’elle pour arriver à ses fins. Elle s’était fait avoir, candide qu’elle était. Mais il est si facile de mettre dans sa poche quelqu’un qui cherche désespérément la sécurité de la chaleur humaine. Elle dut subir ses caprices, espérant soir après soir qu’il ne rentre pas trop saoul ou de mauvaise humeur. Il ne la battait pas, non son corps si plaisant servait juste pour l’exposition. Lui avait une arme beaucoup plus forte, il était maitre dans la psyché et le lui faisait savoir. Paradoxalement, elle pouvait suivre ses cours à la fac. En effet devant tant de malheur elle avait essayé de rendre celui des autres moins lourds en faisant médecine pour tenir sa promesse faite à ses parents…bien sûr elle ne pourra jamais la tenir et pour cause, elle mourra avant. Les années en compagnie passèrent sans qu’elle ne dise jamais rien, ne s’oppose jamais, alors qu’en elle une profonde haine remplaça l’amour qu’elle éprouvait pour David. Elle finit par un jour de grande pluie, prendre son courage par deux mains pour faire sa valise. David n’était pas là et Amira était vraiment au bout du rouleau, les pressions psychique avaient eu raison d’elle, si bien qu’elle avait commencé à se défigurer pour se montrer tel qu’elle était ‘à l’intérieur. David l’avait non sans un sourire victorieux, laissé un peu souffler, assez pour qu’elle se rappelle où elle était et qu’elle aurait le dernier mot. Mais alors qu’elle se dirigeait vers la sortie, elle vit avec effroi que David était entré. Une grande dispute éclata. Amira laissait enfin sortir ce qu’elle avait enfui en elle, mais cela avait un prix. Fou de rage, David lèvera sa main sur elle. Ce fut sa nuit la plus longue et douloureuse. Il l’avait vidé, déchiré au plus profond d’elle-même. Au petit matin, elle se leva, le corps endolori par tant de violence, passa un manteau et se dirigea vers le bureau où elle écrivit une lettre avant de sortir. L’aurore couvrait son plan. Elle allait terminer tout cela, qui irait chercher au fond de cette fameuse étendue d’eau qui longeait New York. On ne retrouva pas le corps tout comme David ne fut jamais puni pour ce qu’il avait fait. La vie d’Amira se termina aussi misérablement qu’elle avait commencé. Elle fut oubliée de tous.

Sa Mort

S’étant suicidé, et selon les règles qui disait que seul Dieu pouvait rappeler ses enfants, Ramïya alla droit en enfer où en tout bon usage, elle devait être une âme tourmentée pour l’éternité. Mais Ramïya n’était pas comme les autres suicidés, c’est un autre désespoir qui l’avait poussé à se noyer. Sa haine lui était explosé au visage. Au royaume des morts, elle était son amie, luire montrant que son amant recommençait tout en l’ayant tout bonnement oubliée. Sa soif de vengeance attira l’attention de Lilith, la première et dernière compagne d’Adam. Ce personnage est pétri de contradictions : elle est à la fois aérienne et chtonienne, voire aquatique, dévoratrice mais à la sexualité et à la fécondité illimitées, mais aussi symbole de frigidité et de stérilité, épouse, fille et double du diable, elle rassemble les côtés négatifs de la féminité archaïque, la femme qui ne peut être l’épouse de l’homme, dans la culture judéo-chrétienne. Lilith surpasse rapidement les succubes, servantes attitrées de Lucifer, sans en être une elle-même. Elle y obtient vite le titre de "Première démone", la favorite de Lucifer. Mais, l'épouse de Lucifer, Grande maîtresse des servantes appelées succubes n'a par contre aucune autorité sur les démons mâles (beaucoup plus nombreux) placés sous l'exclusive férule de son époux, fils de Satan. Une nouvelle fois, elle se venge en le trompant abondamment. Lui, la trompe à son tour avec Eve. Ramïya fut donc disciple de cette déesse de l’enfer dont la beauté n’eut d’égale que sa malice. Comme un mère, elle apprit à Ramïya quoi faire, comment faire pour accéder aux monde des rêves sans soucis.
Ramiya fut donc succube, trouvant là l’occasion de se venger de tous les hommes qui l’avait trahi. Elle rendit au quintuple à David ce qu’il lui avait fait, avant de poursuivre, la grâce de la déesse avec elle. Ramïya était connue dans toutes les cultures, sous tellement de noms, qu’elle commença é apprécier cette vie, mêlé de tout ce qu’elle n’avait jamais été. Sa vie de mort s’avérait beaucoup plus douce que sa vie. Mais elle ne pouvait quitter l’enfer que par le pays des rêves. Telles étaient les règles, aucun démon sur Terre pour les lois de l’équilibre. Et pourtant, un jour, sa maitresse en colère contre Lucifer lui donna accès au royaume des vivants. Ramïya put enfin faire cavalier seule et se détachait du monde de l’enfer. Elle s’établit à Los Angeles, se montrant comme une femme comme les autres. Attirant les uns après les autres les hommes dans son piège. Elle développa une façon de chasser bien à elle et sut comment gagner en pouvoir, surtout les siens. N appartenant qu’au monde de l’ombre, elle n’eut aucun problème à s’adapter, offrant parfois des services sans perpétuités. Elle apprit avec le temps à apprécier la présence d’un homme dominé, tellement qu’elle décida d’en avoir un régulièrement, juste pour sentir cet excitation du dressement et de la domination. Ramïya a un vaste terrain de chasse, mais n'attire jamais l'attention sur elle. Ayant passé un marché avec certains chasseurs, elle jouit de leur protection en échanges d’information, car elle et entend tout ce qui se passe dans les mondes entourant celui des vivants. Récemment et depuis qu’elle a vu les Doberman, elle en a adopté un. Il s’avère très utile pour la chasse et la manière dont Ramïya l’a dressé est aujourd’hui encore un mystère. Personne n’était encore arrivé à ainsi avoir l’obéissance d’un des chiens de l’enfer, mais peut-être était-ce bien parce qu’il partageait cette particularité.

Note pour repousser une succube et son mode d’attaque traditionel

Dans ces profondeurs océaniques où des prières et objurgations multiples tentent de l'y maintenir pour l'empêcher de troubler la vie des Hommes et particulièrement des jeunes Hommes (par définition, encore peu expérimentés), sur terre. Mais ces prières assez efficaces de jour, perdent de leur force au début de la nuit, Lilith, aidée, propulsée par toutes les forces du mal, en profite pour sortir des Abîmes. Les mères et les jeunes mariées, doivent tout faire pour éviter de laisser leur fils et époux seuls aux abords du crépuscule. Car alors, devenus une proie facile pour cette démone, toujours à l'affût, ils seraient entraînés, directement, vers la débauche pour toujours.


Camp : de préférence indépendante...mais dépendante de Lilith

Célébrité : Aishwarya Rai




Prénom : miss Karo

Age : garde pour moi

Niveau de Rp : moyennement très fort

[b]Où avez vous connu ce forum?[/b] : par le lien sur wop

Ca c'est de la présentation!
Et bien moi de mon côté je te valide.
Bienvenue.

Je te valide aussi...

Bienvenue Miss!